Au Néolithique, entre 9000 et 3300 ans avant notre ère, les hommes commencent à cultiver la terre et domestiquent des animaux qui, pour certains, devienn… Présentation des données, des statistiques et des analyses sur la consommation d'énergie des grands secteurs économiques (autres que le résidentiel). Le classement est fondé sur la production 2019. Le thorium est utilisé à la place de l'uranium dans certaines centrales en Inde et est envisagé en Chine. Evolution de la consommation d’énergie finale mondiale de 1971 à 1997 répartie par région. Les 4 premiers pays concentrent 53,5 % des réserves. L'Agence internationale de l'énergie imagine un autre scénario appelé « le futur est électrique », avec un développement beaucoup plus volontariste des usages de l'électricité pour la mobilité et le chauffage : la demande d'électricité augmenterait alors de 90 % au lieu de 60 % d'ici à 2040 ; avec la moitié de la flotte de voitures devenue électrique, la qualité de l'air s'améliorerait fortement, mais cela aurait un effet négligeable sur les émissions de gaz carbonique sans des efforts plus importants pour augmenter la part des renouvelables et des sources d'électricité faiblement carbonées[21]. L'Institut national de la statistique et des études économiques (France) et le ministère français de la Transition écologique et solidaire ont chiffré les émissions totales des Français à 11,1 tonnes de CO2 par personne en 2012, un chiffre nettement supérieurs à l'émission de gaz à effet de serre par habitant sur le territoire national[27]. De façon plus précise, on peut chercher à mesurer comment les variations à court terme (d’une année à l’autre) du PIB influencent la consommation finale d’énergie dans les pays de l’OCDE. Pour l'uranium, la conversion des réserves en tonnes-équivalent-pétrole a été réalisée sur la base d'une consommation annuelle 2018 de 47 758 tonnes d'uranium pour produire 2 096 TWh, soit 240 Mtep[12]. En résumé, la consommation d’énergie finale est égale à la consommation d’énergie primaire moins toutes les pertes d’énergie au long de la chaîne industrielle qui transforme les ressources énergétiques en énergies utilisées dans la consommation finale. Il est assez difficile de connaître le potentiel de chaque énergie car celui-ci varie selon les sources (voir tableau). La consommation de l’Afrique a augmenté de 50% de 1990 à 2008, mais est restée marginale dans la consommation mondiale (environ 5,7% pour plus de 15% de la population mondiale). Toutefois, la situation varie en fonction des pays. Dans son scénario de référence, l’EIA estime que la consommation mondiale d’énergie pourrait fortement croître dans les prochaines décennies : elle pourrait passer de 549 milliards de MBtu (le « British Thermal Unit » est une unité d’énergie fréquemment employée dans le monde anglo-saxon (1)) en 2012 à 629 milliards de MBtu en 2020 et 815 milliards de MBtu en 2040, soit une hausse de 48% en moins de trois … Ces statistiques prennent en compte l'énergie solaire photovoltaïque et les centrales solaires thermodynamiques, qui sont incluses dans la production 2019 pour environ 12 TWh dont 4,5 TWh aux États-Unis, 5,7 TWh en Espagne, 1,55 TWh en Afrique du Sud et 0,2 TWh aux Émirats arabes unis (voir Liste des centrales solaires thermodynamiques). renouvelables. La consommation d'énergie finale dans le monde en 2012 avoisine 9 milliards de tonnes d’équivalent pétrole (d'après Key World Energy Statistics 2014, AIE). Consommation d'énergie finale dans le monde en 2007 Enjeux énergétiques bâtiment dans le monde Poids dans la consommation d’énergie Maroc: 36 % . On peut retenir que la consommation finale se partage entre quatre quarts : Entre 1973 et 2012, la consommation d’énergie dans le monde a presque doublé (+ 92%). Afin de mieux mettre en évidence le comportement de consommation d’énergie finale des pays ou groupes de pays et leur tendance longue, les économètres se réfèrent à « l’intensité énergétique » exprimée en unités d’énergie consommée par unité monétaire de PIB, donc de production intérieure au pays. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Abonnez-vous gratuitement aux newsletters, Consommation d'énergie finale dans le monde. L’augmentation découle notamment de la reprise du fret ferroviaire : + 13,9% , puis -6,7% en 2010. Toute la consommation d’énergie destinée à satisfaire les divers besoins de l’homme est issue de formes d’énergies dites primaires qui sont soit épuisables (énergies fossiles comme le charbon, le pétrole, le gaz naturel, mais aussi l’uranium), soit renouvelables (énergies hydraulique, éolienne, marines, géothermique et solaire, y compris la biomasse qui est une concentration d’énergie solaire en carbone dans un végétal). En effet, l’énergie est nécessaire à la production et la consommation de tous les biens et services de l’industrie et des services. Elle se répartissait en 33,1 % de pétrole, 27,0 % de charbon, 24,2 % de gaz naturel, 4,3 % de nucléaire et 11,5 % d'énergies renouvelables (hydroélectricité 6,5 %, éolien 2,2 %, biomasse et géothermie 1,0 %, solaire 1,1 %, agrocarburants 0,7 %). Ce thème fait l’objet d’une partie dédiée dans le bilan annuel de l’énergie de la France et de publications ponctuelles. Ces objectifs pourraient éventuellement être revus à la hausse en 2023, mais il « restera dans les livres d'histoire comme une opportunité manquée malgré les meilleurs efforts du Parlement européen et de plusieurs Etats membres progressistes » juge Imke Lübbeke du WWF (citant l'Italie et l'Espagne qui ont poussé à plus d'ambition)[23]. Depuis la révolution industrielle, la consommation d'énergie n'a cessé d'augmenter. 9 %. L'UE veut aussi renforcer l'accès pour tous à l'information individuelle sur nos consommations d'énergie (dont pour le chauffage collectif, la climatisation et l'eau chaude). Bien évidemment, seule une très petite part du potentiel solaire théorique peut être exploitée, car les terres cultivables resteront dédiées à l'agriculture, les océans seraient difficilement exploitables, et les zones proches des pôles ne sont pas économiquement exploitables. La consommation énergétique mondiale était de 533 x 10 18 J en 2010. Ces chiffres rendent compte des émissions de chaque pays mais n'intègrent pas les gaz à effet de serre induits par la production des produits importés ou exportés. Pour permettre la consommation finale de ces 9 milliards de tep, il a fallu « produire » près de 13,4 Gtep d’énergie primaire, comprenant notamment l’énergie utilisée pour transformer les ressources initiales. 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 11 628, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1,428 6, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 1 000, 1 tonne d'équivalent pétrole (tep) = 7,33, la méthode théorique ou « énergie finale » : on calcule simplement le nombre de tep selon l'équivalence physique en énergie, la méthode de « l'équivalent à la production » ou « méthode de substitution », qui indique le nombre de tep nécessaires à la production de ces kWh. L’Asie ne comprend pas la Chine. Comment ont évolué, depuis, 1800, la consommation des grandes sources d’énergie primaire ? En particulier dans les pays sans accès à l’électricité, la principale source d’énergie résidentielle reste la consommation de biomasse (bois, déjections et déchets) qui échappe au comptage. Elle est égale à la consommation d’énergie primaire moins toutes les pertes d’énergie au long de la chaîne industrielle qui transforme les ressources énergétiques en énergies utilisées dans la consommation finale. Cette statistique sous-évalue la part des énergies renouvelables électriques (hydroélectricité, éolien, photovoltaïque) : cf. Les énergies renouvelables sont par définition « inépuisables à l'échelle du temps humain »[14]. Prospective de l'évolution de la demande en énergie finale du secteur des bâtiments selon le scénario de référence de l'AIE. Malgré des difficultés méthodologiques principalement dues à la mesure des productions nationales en dollars US, cet indicateur d’intensité énergétique permet de mettre en évidence le besoin d’énergie des économies en voie de développement. Selon le Dr Fatih Birol, directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie, « les renouvelables font de très grands progrès sur les prochaines décennies mais leurs gains restent largement confinés à la production d'électricité. L’évolution de la consommation dans le monde. Selon l'AIE, les engagements individuels des pays à la Conférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques (COP21) sont largement insuffisants : ils ne feraient que ralentir la progression des émissions de CO2 et mèneraient à une hausse des températures de 2,7 °C en 2100. … Répartition de la consommation d'énergie primaire issue de sources renouvelables en France en 2017. Le PIB mesure la valeur monétaire de l’ensemble des biens et services finaux produits dans un pays : les biens d’investissement (les usines, les bâtiments) comme les biens de consommation finale (nourriture, services divers consommés par les ménages). Ces nouvelles données d’intensité-carbone n’apportent pas d’explications significativement différentes des données d’intensité-énergie ; elles ont toutefois plus d’écho dans les opinions publiques de tous les pays du monde. Comme pour toutes les sources d'énergie, on obtient la quantité d'énergie produite en multipliant le temps de production par la puissance moyenne disponible (puissance maximale pondérée par le facteur de charge). Les auteurs y ont réunis toutes les séries chronologiques connues sur la production de houille, lignite (browncoal), gaz naturel, pétrole brut et électricité, en unités spécifiques puis en tonnes équivalent charbon (tec). On arrive alors à une potentiel énergétique solaire théorique sur un an de 1 070 000 PWh. ), ressource d'énergie importante en Chine, Grèce ou encore Israël n'est pas prise en compte. Sa répartition par secteur était : industrie 29 %, transports 29 %, résidentiel 21 %, tertiaire 8 %, agriculture et pêche 2 %, usages non énergétiques (chimie, etc.) Cette statistique ne prend pas en compte les énergies auto-consommées (bois, pompes à chaleur, solaire thermique, etc. Dans le cadre des négociations internationales sur le climat, tous les pays se sont engagés à maintenir la hausse des températures en deçà de 2 °C par rapport à l'ère préindustrielle. Le présent article utilise également cette méthode de substitution ou méthode de l'équivalent à la production avec un coefficient de 38 % pour toutes les sources d'énergie électriques. Le rapport annuel 2018 de l'Agence internationale de l'énergie sur l'évolution prévisible de la production d'énergie prévoit une croissance de plus de 25 % de la demande totale d'énergie d'ici 2040, tirée notamment par l'Inde et les pays en développement. Cela s’explique en partie par les grèves et les chutes de neige à la fin de 2010, ce qui conduit à la reprise au début de 2011. Selon le rapport 2016 de l'Agence internationale de l'énergie, l'Accord de Paris sur le climat de 2015 aura pour effet, si les engagements des pays sont respectés, de ralentir la croissance des émissions de CO2 liées à l'énergie (croissance annuelle ramenée de 600 à 150 millions de tonnes par an), ce qui serait largement insuffisant pour atteindre l'objectif de limiter à 2 °C le réchauffement climatique d'ici 2100 ; la trajectoire résultant de ces accords mènerait à +2,7 °C.

Fair Trade Définition Simple, étude De Cas Sur Le Recrutement, Symbolique Du Chat Siamois, La Domaine Des Oliviers Pierrelatte, Collège Sainte-geneviève Argenteuil, Une Journée D'ivan Denissovitch, Adidas Handball Spezial Bleu, Laisse Tomber Les Filles Remix, Gif Reine Des Neiges,