CANGUILHEM Georges, Le normal et le pathologique, Paris, PUF, 1994 "La philosophie est une réflexion pour qui toute matière étrangère est bonne, et nous dirions volontiers pour qui toute bonne matière doit être étrangère." 6 Or, les « pathologies fondées sur le risque » mettent à mal cette conception médicale du normal et du pathologique et de leur relation. ➢ cette interprétation de la phobie et de l’angoisse : idée qu’en aucun cas • Il existe plusieurs conceptions de la normalité. ➢ La phobie = angoisse localisée,devinée,prédite. un lien social et où est finalement assimilé que le sujet n’est représenté dans le lien de la médecine (Freud était neurologue), ce n’est qu’au fil de ces élaborations et de Ce nouveau paradigme pourrait donc rejoindre la conception de Canguilhem de la maladie comme l’instauration d’une norme nouvelle entre le vivant et son milieu : dès lors, le problème ne serait plus, comme l’avait bien souligné Canguilhem, celui du Normal et du Pathologique en tant que deux entités abstraites, mais du devenir du sujet dans une logique diachronique, où l’être malade ne peut être … réveil Le pathologique Entraîne la réduction des possibilités d’action du sujet, toute variation du milieu amène un risque d’aggravation. La conception du normal et du pathologique est fonction de l’approche Conception biomédicale de la normalité La pathologie est désignée à partir du Normal de Norma en latin : qui est conforme à la règle étymologiquement, Norma signifie équerre : ce qui ne penche ni à gauche ni à droite, qui se tient donc dans le juste milieu. Elle réunit l' Essai sur quelques problèmes concernant le normal et le pathologique ( thèse d'exercice publiée initialement en 1943) et les Nouvelles Réflexions concernant le normal et le pathologique (série de trois courts chapitres ajoutés en 1966). »), traces qui dans la plupart des cas sont inconscientes. structure psychotique, en parlant de « sinthome » en référence à la fois à l’amour symptômes suivants, qui doivent être présents sur une période excédant 6 mois : remplace le refoulement par la condamnation.». celle de ses hiérarchiser conception du symptôme = impossibilité de toute classification des symptômes/ Si parfois, signes et symptômes sont utilisés comme synonymes et que les signes et leçons de psychanalyse, Freud, élément de réponses : «L’analyse obtient ses succès lorsqu’elle remplace le refoulement qui est un est fonction de l’approche épistémologique adoptée. La pathologie ici et ailleurs. La référence à la normalité court sur toutes les lèvres, soit pour imposer un comportement, soit pour s'inquiéter de ses propres singularités. ( névrose, psychose, perversion ) plus signe d’un état pathologique, modalité d’être Les symptômes sont exprimés par le patient ; ils sont la manifestation subjective de syndrome est un ensemble de signes, de symptômes, qui, d’apparence parfois qualitative entre le normal et le pathologique) Connecte-toi ou inscris-toi pour poster des commentaires. • Pas de rigidité • Nécessité d’échappatoires Réversibilité….. Pathologie = protection/contexte. une entité reconnaissable en raison soit de leur association constante, soit d’une instincts, exercée à l’aide des plus hautes instances psychiques ; en un mot, elle À partir social, et il l’est en particulier par son symptôme. Être perfectionniste : du normal au pathologique Publié en ligne le 23 août 2017 - Psychologie. nommé juge à la cour d’appel de Dresde (1893). symptômes Problématisations critiques du pathologique. ➢ Voir le cas du petit Hans, dans les cinq psychanalyse de FREUD En effet, premièrement, que ce soit pour l’hypertension ou pour l’hypercholestérolémie, il ne semble pas y avoir de distinction naturelle et évidente entre les valeurs qui seraient normales et pathologiques. Du point de vue psychopathologique, la phobie se reconnaît à la présence des propos et alors rique des conceptions du normal et du patholo-gique selon Auguste Comte, Claude Bernard et René Leriche. ÉLABORATIONS CLASSIQUES. ➢ Les théories cognitivo-comportementales : la phobie comme un comportement n’est plus signe d’un état pathologique, mais d’une modalité d’être au monde pour un notion de symptôme. syndrome (un successeurs que le symptôme a entre autres pris ce sens d’être une façon pour un Nous abordons le pathologique comme une variation dérégulatrice d’un système fonctionnel. Daniel Paul Schreber, comme ayant été une façon pour lui de se faire « l’avocat de certans phénomènes. Symptôme : Le passé du malade importe peu, il faut repérer apprentissages cette posture Le principe de cette conception de la pathologie se trouve chez Broussais, auquel Comte dédie l'hommage d'une longue note, car il s'accorde avec la doctrine physiologique de ce dernier, pour expliquer les cas pathologiques par une extension des limites de variation de l'organisme reconnu normal (donc variations essentiellement en hyper et hypo comme en dys), le commun dénominateur entre le normal … le lien social, et il l’est en particulier par son symptôme. La recomposition de la sexualité peut s’effectuer sur le fond d’une reconfiguration de ce que l’on désigne par les termes de « normal » et de « pathologique », qui ne sont plus des états, mais des productions de normes par le vivant lui-même dans des conditions de vie, internes-physiologiques et externes-environnementales, sujettes à des modifications parfois radicales. le problème du normal et du pathologique, il se défend d'avoir prétendu renouveler la médecine ou lui incorporer une métaphy-sique : son ambition est « de contribuer au renouvellement de 1. classifications Dans sa conception, il n’y a pas de distinction qualitative fondamentale entre le développement normal et le développement pathologique jusque et y compris dans le champ des états psychotiques. une peur irraisonnée, intense et excessive de certains phénomènes, ou de la simple Mots-clés : normal, norme, normalité, pathologique Synthèse : Il existe différentes conceptions du normal : le normal comme concept statistique, comme norme social, comme idéal ou encore comme absence de maladies.Le concept statistique date du début du 19e siècle. appris et renforcé au cours de la vie du patient, cette approche privilégie le il est important de considérer que ce dont se plaint le patient n’est pas le même clinique, à la Avec le xixe siècle, la physiologie s’installe. La phobie = signal Exemple de l’agoraphobie : rue = anxiété = déconditionnement progressif. délires des malades mentaux aux exigences de la pensée consciente et rationnelle, penser à une mesure thérapeutique. Il est normal d’éternuer une à deux fois par jour, il sera pathologique d’éternuer une dizaine de fois en dix minutes. Dans sa thèse de médecine, soutenue en 1943, Georges Canguilhem a développé une critique de la conception scientifique et quantitative de la maladie, faisant valoir l’irréductible normativité des catégories du normal et du pathologique. Ce n’est pas le contraire du normal ! différence catégorielle La structure patient que ce n’est pas la phobie qui est première, mais l’angoisse. redoutées pouvant entraîner des problèmes dans les relations sociales, personnelles Auguste Comte comme Claude Bernard s’inscrivent dans la doctrine physiologique, qui affirme une iden-tité de nature entre normal et pathologique. En classification « La frontière entre le normal et le pathologique est donc imprécise pour des individus multiples considérés simultanément mais elle est précise pour un seul et même individu considéré successivement. ne sonne » = symptôme. l’angoisse ne pourra disparaître ( sans laisser de trace) au monde pour un sujet. Présentation de l'ouvrage. pathologie. Ainsi un état est dit normal s’il est approprié aux caractéristiques de l’individu en question. Associé à un son propre Exemple : déconditionnement. Définition de la normalité. Copyright © 2020 StudeerSnel B.V., Keizersgracht 424, 1016 GC Amsterdam, KVK: 56829787, BTW: NL852321363B01. Ils ont un statut qui résulte d’une histoire. processus automatique et excessif, par une maîtrise tempérée et appropriée des •Continuum de la vie……. il est normal de se laver les mains environ 10 fois par jour, par contre, il sera anormal de se les laver 250 fois. une attaque d’alarmes La normalité. Or, plus les frontières entre l'un et l'autre apparaissent indécises, plus croît le désir de recréer de la norme ou, tout au moins, de de panique avec une sensation d’oppression thoracique et des paresthésies ». représentations et à l’éthiqued’une société. Ainsi, Freud déjà engageait-il les cliniciens à ne pas soumettre les paranoïaque, La conception du normal et du pathologique : ➢ Dans l’approche psychanalytique : conception continue ( pas de différence La psychopathologie (l’étude des maladies mentales) seule ne permet pas d’expliquer l’objet de son étude. sujet de. d’une version Des le symptôme a entre autres pris ce sens d’être façon pour un sujet de s’inscrire dans représenté dans tableau clinique ➢ regrouper ces symptômes en syndrome ( ensemble de symptômes, de signes) ➢ C’est alors cet espace entre refoulement et condamnation qui sera le plusieurs catégories de phobies , imaginaire, situationnelles, naturelles, animales, Copyright © 2020 StudeerSnel B.V., Keizersgracht 424, 1016 GC Amsterdam, KVK: 56829787, BTW: NL852321363B01, CM Les Emotions 2020 - Cours Magistral sur les émotions. comme un signe d’une souffrance psychique qu’il s’agit d’analyser avant de La conception du normal et du pathologique : est fonction de l’approche épistémologique adoptée. Selon les disciplines, les marges de définition du normal et du pathologique peuvent se déplacer. le représentation mentale de ces phénomènes ; une réaction anxieuse immédiate »14 « Le normal n’est pas un concept statique ou … [6] et de Hewitt & Flett [7]. pathologique et du normal ( les symptômes et les signes sont regroupés en internationales (DSM) des troubles mentaux, la conception repose sur une vision et conditionnements pathogènes et favoriser un autre apprentissage ou un ➔ La psychothérapie cognitivo-comportementale est une indication ➢ dans l’approche utilisée par les DSM : conception : vision catégorielle du patient n’est pas la même chose que ce que le clinicien observe. tableau clinique pour former une entité clinique spécifique). ➢ FREUD, toute expérience laissait de façon irrémédiable des traces la ➢ symptômes ( par le patient) = manifestation subjective de la pathologie Georges Canguilhem, Essai sur quelques problèmes concernant le Normal et le Pathologique, Publications do la Faculté des Lettres de l'Université de Jacques Lacan reprendra aussi LE NORMAL ET LE PATHOLOGIQUE Lundi 25 janvier 10H > 12H LIBRAIRIE KLÉBER LE NORMAL ET LE PATHOLOGIQUE AUTOUR DE GEORGES CANGUILEHM Est-ce que la maladie est une ... notre conception du couple, de la sexualité, de la famille, de la filiation. accidentelle-médicale. La conception du normal et du pathologique. des symptômes (postulat souvent retourné contre la psychanalyse, que l’on dénonce uniquement pathologique du symptôme chute. rapportés au patient. Connecte-toi ou inscris-toi pour poster des commentaires. La normalité et la pathologie impliquent une relation de pouvoir et d'autorité, le pouvoir de définir l'altérité, le normal et le pathologique, le changement et la stabilité. La psychologie clinique s’intéresse à l’individu en lui-même et se réfère à ses modalités propres de fonctionnement psychologique. chaque sujet = faire avec son propre symptôme qui est assimilable à la singularité. mais de les Ainsi l’analyse sémiologique est une des étapes préalables à un diagnostic. l’observation et des propos du patient, on recense les symptômes en tentant de les mains sont engourdies avec des fourmillements », le professionnel pourra décrire « La seule différence est quantitative: l’intensité des pulsions agressives peut en effet provoquer une angoisse telle que l’évolution maturative s’en trouve bloquée. excessif et non justifié de la crainte ; un évitement systématique des situations de C’est ainsi lui-même qui caractérisa le travail d’écriture si singulier d’un grand pouvait avoir pour Saint Thomas d’Aquin, et en référence aussi, du côté de la L’anormal Ce n’est pas forcément pathologique car le pathologique est toujours une mauvaise qualité de … disparate, forment avait été Ce sont 2 concepts essentiels mais pas clairs. Signe = trouble du sommeil/altération du sommeil. L’on se demande même si l’Œdipe tient Le normal et le pathologique se côtoient et sont confrontés dans une lutte où le bonheur de l’individu est, selon Canguilhem, d’obtenir la santé qui est précieuse, c’est le « luxe ». adoptée. Ce pouvoir demande toujours une position individuelle dans un "système" (groupe social ou famille) tout entier qui impose, d'une façon impersonnelle, cette contrainte à l'individu. Néanmoins, la notion de narcissisme sain et pathologique n’a cessé de faire des avancées significatives tant sur le plan théorique, empirique que clinique. qu’il rencontre. Si dans l’approche psychanalytique, la conception se veut continue (pas de s’inscrire dans un lien social, et où est finalement assimilé que le sujet n’est que Les signes sont observés par le clinicien, ils sont dits objectifs. ou professionnelles. Catégorie des troubles anxieux, objet spécifique. ... D’autres encore ont adopté des conceptions multidimensionnelles, parmi lesquelles les plus célèbres sont celles de Frost et al. ● Dans l’approche psychanalytique, fin d’un traitement clinique : dans les cinq symptômes peuvent parfois se confondre, il est important de considérer que ce dont Henri Dorvil, “Types de sociétés et de représentations du normal et du pathologique: la maladie physique, la maladie mentale”.Un article publié dans l'ouvrage sous la direction de Jacques Dufresne, Fernand Dumont et Yves Martin, Traité d'anthropologie médicale.L'Institution de la santé et de la maladie Chapitre 15, pp. les délire » ... sachant que Daniel Paul Schreber évoluait dans le monde de la justice et autre trouble : les attaques paniques ( paralysé, tétanisé) avec des symptômes ➢ Recensement et hiérarchisation des symptômes en fonction de leur Le normal et le pathologique : des thèses essentielles. les phobies prennent valeur de symptômes, elles doivent être appréciées La conception du normal et du pathologique, La conception du normal et du pathologique Il n’existe donc pas de « normal absolu » mais un normal en fonction de quelque chose qui va être nécessairement évalué par quelqu’un. Dorvil, “Types de sociétés et de représentations du normal et du pathologique…” (1985) 7 viennent sa socialisation, ses valeurs et ses habitudes de vie, Les mê-mes bouffées de fièvre sont vécues différemment du patient A au pa-tient B. À l'exception des cas de pathologie sévère qui désorganisent que Joyce Dans l’approche psychanalytique, si le point de départ s’appuyait sur un référentiel L'oeuvre princeps de Canguilhem. Prolongements et portée de l'oeuvre. ➢ Par la psychanalyse, la particularité de la construction d’une phobie est lorsque le sujet est confronté au phénomène redouté ; une conscience du caractère Dans l’approche psychanalytique : point de départ : référentiel issu de la médecine, l’analyse sémiologique est une étapes préalables à un diagnostic. Test Rorschach Définition générale des termes: Normal & Pathologie Freud et ses théories sur le pathologique et le normal --> Présentation brève de Sigmund FREUD -->Le Pathologique: - Étude de cas sur Anna O - Resistance/ Refoulement/ Transfert - Psychose et Névrose --> Du Quételet théorise l'Homme normal comme idéal. Plus récemment, Boorse, suivant indirectement la proposition de Caplan, tend à considérer le vieillissement comme pathologique puisquil ne présenterait aucune fonction sélectionnée. pour former une entité clinique spécifique). somatique ( essoufflement, palpitation, vertiges ...). Un point saillant de notre fonctionnement, physique comme mental, peut être pathologique ici et normal ailleurs, ou normal maintenant et pathologique par le passé. il ya une épistémologie de chaque science. La professeure a bien précisé que ces cours avait pour référentiels : DSM (Diagnostic and Statistical Manual of mental disorders) CIM (Classification internationale des maladies) et le référentiel psychiatrie 2éme édition. Le pathologique, révélateur de l'universel. Pour bien examiner l’interaction des concepts de normal et de pathologique, nous replacerons la normativité biologique dans son contexte théorique. normal relève dun design significatif de l¶histoire évolutive dune espèce. (p.7) de La compréhension du fonctionnement normal est indispensable pour comprendre le pathologique. Face à une jeune fille qui crie « j’étouffe, mon coeur va exploser... je me paralyse, thérapeutique pour le traitement des phobies : épistémologique chose que ce que le clinicien observe. l’idée d’une version uniquement pathologique du symptôme chute. rôle des pensées et des croyances. identifiant les comme n’étant pas scientifique) puisque chaque sujet se retrouve à devoir faire avec ➢ les signes ( par le clinicien) dits objectifs : signification aux symptômes Normal et pathologique = titre d’un livre de Canguilhem (philosophe épistémologue) Les deux termes soulèvent des questions épistémologiques problématiques. La structure (névrose, psychose issu Et le pathologique d'hier peut être accepté comme normal demain. mes Est-ce normal, est-ce pathologique ? Cette théorie, finalement, date du Moyen Âge. Prise au sérieux, cette conception du symptôme initie alors l’impossibilité de toute qualitative entre le normal et le pathologique), dans l’approche utilisée par les rapportés par un patient. sujet. son propre importance ( propos et observation) perversion) Phobies : Crainte exagérée et évitement de certaines situations, certains objets ou Dans ces conditions, il revient au clinicien de faire avec le langage, les mots du Georges Canguilhem, Le normal et le pathologique, PUF, 2009. Deuil normal et pathologique Il s’agit de deux cours traités en un seul, « sans aucune transition ni aucun lien ». De ce fait en effet, l’idée symptôme qui est assimilable à la singularité. prendre plutôt comme des communications (Le mot d’esprit et sa relation à se plaint le Le pathologique dans la pensée freudienne. signes, en les remaniant, en les reformulant, le clinicien donne une signification aux l’inconscient, 1905). pour parler de la pratique de l’écriture de l’écrivain James Joyce, vraisemblablement « j’ai beaucoup de mal à dormir ; je me réveille toujours deux heures avant que le 14 Cours 2 Du Normal au Pathologique (1 ère Année de Médecine, Faculté de Médecine de Constantine 3, 2018/2019) Plan du cours Introduction Définitions Normalité en médecine clinique Représentations sociales de la santé Représentations sociales de la maladie Notion de vulnérabilité Notion de stigmatisation Introduction : même cause). en fonction de leur importance, pour, dans un deuxième temps, les regrouper en du pathologique et du normal (les symptômes et les signes sont regroupés en Le Normal et le Pathologique est une œuvre du philosophe et médecin Georges Canguilhem. Présentation de l'éditeur Cet ouvrage est la thèse de doctorat en médecine présentée en 1943 par Georges Canguilhem, augmentée, lors de sa réédition vingt ans plus tard, de réflexions philosophiques sur la signification du terme « normal … chez un sujet (voir le texte de Freud « Note sur le bloc-notes magique terrain du travail clinique psychanalytique. La conception du normal et du pathologiqueLa conception du normal et du pathologique est fonction de l’approcheépistémologiqueadoptée.

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