Le frère de Barako se dirige vers l’Est et se fixe à Manota, village Manon de ce qui sera le Mossorodougou. On ne peut dire non plus que c’était une aristocratie de Djallonké qui gouvernait le pays, mais un clan étranger, Geh ou Guéré dit-on, venu sous la direction d’un nommé Togba ou Tokpa porter secours aux premiers habitants appartenant au clan Yoma. La Guinée forestière correspond à la partie Sud du pays. Ils ne savent guère d’où ils viennent et on ne les retrouve nulle part ailleurs. A quels événements, à quelles alliances se perdant dans la nuit des temps, faut-il attribuer cette prééminence des premiers habitants d’un Guiépa aujourd’hui disparu ? des villages Manon compris dans les cantons Kono ou Kpellé. Il existait pourtant une exception : « l’empire » de Guéasso qui groupait des cantons Kono, un canton Manon, des villages Dan et même des régions Kpellé. Son frère ayant eu des relations avec l’une d’elles qui devint enceinte, il l’épousa et ce fut l’origine d’une branche cadette du clan Ma. Lorsque le chef de Galapaye est malade, on offre des colas au sac soigneusement conservé. Polon : stage d’initiation en « forêt dite sacrée ». C’est le petit-fils de Zoho Missa, Zohota Yagbaolo, qui a laissé le souvenir du plus grand guerrier alors que le souvenir conservé de Zoho Missa est celui d’un sorcier extraordinaire, il était si grand Zohomou qu’il initiait les autres avant d’être lui-même initié ; on lui fit ce reproche et ce sont ses initiés qui l’initièrent ! Le nouveau village prospérait, et la procréation fut nombreuse. En fait les Doualanwã ne sont pas venus pour attaquer le lion légendaire, mais ont été appelés par les Boonwã pour les défendre contre les Toma. Il semble qu’il ait succédé à l’ancien village de Ziamou entre Tonota et Vai et que les éléments qui l’avaient formé étaient originaires les uns de Donhouéta, les autres de Donatabéré. E n plus de la Haute Guinée, fief traditionnel du Rassemblement du peuple de Guinée (RPG) Arc-en-ciel, Alpha Condé mise sur la région Forestière pour s’octroyer un 3e mandat ? A la mort de Togba, la succession échut à Labila. Par Mohamed Bangoura. Les événements que nous avons décrits au chapitre précédent provoquèrent l’exode d’éléments Guio, Dan et Guéré vers le Haut-Cavally et le Mani. Un clan d’origine manon et venant de Yéi (Manansèlé) d’après la tradition, porte le nom kpellé de K’Poouna et a pour totem la chèvre et le poulet. D’après la légende, quatre frères : Zoho Missa Coma, Zoho Moussakoro, Barako et… (le nom du quatrième n’est pas connu) quittent ensemble Missadougou et se dirigeant vers le sud atteignent Klya dans le Béro après être passés par le G’Banhana et le Kossa-Guerzé. Par conséquent le nom Gamakonékoné serait à comprendre comme village construit sur des graviers et habité par la famille Gamablã (pluriel de Gamamou). On le trouve à Péla, Yilata, Peninzou, Ténia, Ouéta et Pela-Bélignan. La chefferie de Lola échappa d’ailleurs à la famille de Barako ou G’Barko pour passer dans une famille du clan Doré, le même que celui qui imposa sa domination aux Manon de Zan en la personne de Bossoucoura. Si l’on en croit les notes prises en 1913 par le Père Bouyssou, fondateur de la mission en pays Kpellé, ce sont des membres de la famille deFalikaman qui furent expulsés de Missadougou et s’établirent en pays Kpellé 113. Le plus ancien village parmi ceux existant actuellement est celui de Kani. 23-24. Basse Guinée; Guinée Forestière; Haute Guinée ; Moyenne Guinée; News; Société; L’homme et le véhicule : une histoire de couple. Histoire de la Guinée Française : Rivières du Sud — Fouta Dialo — Région du Sud Soudan, Contribution préliminaire à l’étude botanique de la Basse-Guinée Française, Le discours d’Ahmed Sékou Toure le 25 août 1958 à Conakry, Présence des sarrasins en France avant et après la Bataille de Poitiers, Dossier : La traite orientale des musulmans en Afrique (652 – 1964), Discours de Sékou Touré Président du Conseil de Gouvernement le 25 août 1958. Le premier chef futYoakou auquel succédèrent ses fils, Holomo Paquilé, Koligbalo et Tato. Il est vrai que dans cette région… ! L’origine légendaire de Melegpouma est la suivante : un nommé Zomia qui habitait un hameau près des chutes de l’Oulé était chasseur d’éléphant. Histoire. Il trouva une jeune fille qui lui donna de la nourriture et l’emmena chez son père à G’Banhié, lequel offrit une large hospitalité à l’étranger, très large même puisqu’il le logea dans la case de sa fille. 1 2 3 … 22 Next. Il se marie et de son union naissent en particulier deux enfants : Kolihaha Bolo et Bolo Ouo. No copyright page found. 15-17-18 La Guinée forestière est peuplée de Guerzés, Kissi, Mano, Koniaké et Toma qui sont parfois désignés collectivement sous l'expression "les forestiers". Généalogie de la famille commandant le Zohota. Mossourou eut lui-même plusieurs enfants. L’actuel Guéasso avait été fondé par un autre fils de Togba, G’Banan, qui créa également Tonon. Une deuxième vague venue également du Manansèlé porta plus loin vers le sud-ouest les avant-gardes manon. Tous Basse Guinée Guinée Forestière Haute Guinée Moyenne Guinée Covid-19/Boffa : des communes rurales confrontées au manque de ressources financières Média : Lamine Guirassy remporte le Prix du meilleur patron de presse… G’Bein reste le centre Nia le plus irnportant et dans le G’Benson ce clan est connu sous le nom de G’Bein. La date estimée de fin de la … Notre version nous semble plus vraisemblable car elle fait intervenir un élément Mahou se croisant avec un élément Kpellé (la fille de Mouon) et le métis qui naît de ce croisement donnera une lignée Kono en s’unissant à une femme manon du Vépo ancien. Puis à l’aide de ces fiches de village, une fiche récapitulative a été dressée pour chaque clan avec indication des interdits, éventuellement des diverses branches du clan, du ou des villages dont est issu le clan, des villages qu’il a créés ou peuplés, enfin des événements auxquels le clan a été mêlé. Plus tard, lorsque Kaman Kékoura fut remonté à Kuonkan, G’Bli alla l’y saluer au nom de son père. Save my name, email, and website in this browser for the next time I comment. Les autres cantons Kpellé profitèrent de l’occasion pour se jeter sur le Boo. Le profil historique de l’évolution institutionnelle du secteur environnement montre deux faits constants. Fagnanla désigna par la suite son frère Gohéli pour accompagner Koli Gponomou chef d’une fraction du clan Ma de Loulé (Manaleye) venu se mettre sous la protection du clan Kolié. Une partie des habitants du Boo sous la conduite du grand guerrier Bakoli Yilé, se réfugia à Goueeké (Moné), les autres avec Dombo à Kassata (Libéria). A la mort de celui-ci, le pouvoir revint successivement à ses fils Gapka, Zohomou et Loho. Mais Mouon ne connaissait pas le fusil et c’est l’absencede cette arme qui rendait les gens de cette époque si craintifset les panthères si redoutables. Venu de la région de Man sous la direction de Zougoussogoli, il se met au service du clan Kolo de Lainé et introduit le fusil dans ce canton. En allant vers l’Est, on trouve le clan Nona à Ninata dans le Souhoulapeulé d’où une fraction ira s’installer à Boma. L’égypte entre le 10 et le 16 février,bat le soudan par 2 buts à 1,puis l’éthiopie par 4 à 0 et s’adjuge le trophée. Alpha Condé réélu : Une morosité dans la manifestation des partisans à N’Zérékoré . La Commission des Forêts d'Afrique Centrale est à la recherche d’un ( e ) Expert ( e ) Gouvernance Forestière au Secrétariat Exécutif de la COMIFAC. Gbâ, nom propre du fondateur ; ta, village ; blé, espèce d’un grand arbre (dont nous n’avons pas réussi à identifier le nom scientifique) à feuillage touffu ; mou, au pied, celui qui est au bout, et par extension aussi descendant. A., & Vierhaus, H. (2006). Brief report on child witches in Guinée forestière DIDR – Division de l'information, de la documentation et des recherches (OFPRA) (Author), published by OFPRA – Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides: “Situation des enfants sorciers en Guinée forestière”, Document #1449422 - ecoi.net 112. Zomia, qui serait parti vers l’est et aurait fondé Nzo dans le Vépo, eut deux enfants dont l’un, Yarafana, fonda N’Zao, tandis que son aîné Yoma créait Yéi (Yalenzou en Kpellé) ce qui signifie « dans la savane » ; en effet Yéi n’était pas à l’emplacement actuel mais dans la savane plus près de N’Zao. Un nommé Zehem quitte G’Bao pour fonder Zehempa, puis Zouho quitte G’Béléi pour créer Kohempa. Certains de ses descendants sous le nom manon de Nia émigrèrent vers le sud et créèrent en particulier G’Bein, d’autres gardant leur nom de Téa se répandirent dans le Tonalé principalement. Le chef du clanTéa vivant à Guiéta était, on s’en souvient, Mouon. Par. Un descendant de Zoria nommé Ouassilé aurait fait ses champs sur l’emplacement de Oulo et le village de culture serait devenu le village le plus important du Boo (1780 habitants en 1947). Quand on suit les tensions qui montent parfois entre les militants des différents partis politiques en cette période électorale en Guinée, on se rend compte que beaucoup de Guinéens comprennent encore mal le sens de la compétition politique. Comme tous ces villages, Tonota a dû être détruit et reconstruit plusieurs fois, si bien qu’il possède plusieurs familles pouvant se dire valablement fondatrice bien que d’origines différentes. Bien entendu nous n’avons pu faire ce travail que pour le cercle de Nzérékoré et nous n’avons pas eu connaissance de travaux similaires qui auraient été menés dans les cercles de Macenta, Gueckedou, Kissidougou, d’où un déséquilibre dans l’étude de cette région forestière de Haute-Guinée pour l’époque considérée. Elle est classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO et recouvre l'essentiel de l'écotope du Mont Nimba, qui abrite plus de 200 espèces endémiques : duikers, grands félins (lions et léopards), civettes, et deux espèces de batraciens vivipares[1],[2],[3]. Une région \" refuge \". Dans le Yanialeye et le Sonkolé, le maître de la terre est le clan Boma. lbidem, pp. Vers le nord, la pointe extrême de l’occupation manon semble se situer dans le Souhoulapeulé et le centre du Moné. 120. Il séjourne dans la partie nord du Boo à Oulo, Ouéya et Bamakaman. C’est ainsi par exemple qu’ils possèdent une Initiation et un génie, le Coma, frère du Nyomou Kpellé, qui leur sont propres. Cependant, N’Zebela Togba restait fort et les Manon demandèrent la paix : elle fut conclue à Haoulo. Ce sont les clans Ouéma ou Finé dont le totem est le chien, Ouéa (chien-gazelle-souris), Ouéma (poisson-serpent), Zoan(chien-poisson), Zoa (poisson-miel). Les alliances entre villages et entre cantons étaient particulièrement instables, et l’unité politique était avant tout ce que nous avions appelé « le canton ». En effet, ce « Mouon » accueille chez lui des chasseurs du Mahou, ce pays de la région de Touba, qui sont probablement des Diomandé détenteurs d’armes à feu que ne possède pas Mouon. Nzérékoré, en particulier, l’actuel chef-lieu du cercle, était Manon, son ancien nom était Nehemkoheba et son nom moderne serait une déformation de Dyeli Koelé (à côté de la rivière Dyeli). Celui-ci en effet, se distingua par son courage dans les combats qui suivirent et emporta enfin une glorieuse victoire. Zoho Missa était du clan Maliéma et était accompagné de groupes des clans Blenyé ou Galda et Moné ou Koulata. Le clan Boti dont nous avons parlé plus haut est peut-être lui aussi d’origine Guéré et non Dan, car le nom du village fondé par ce clan, G’Bélé, signifie en langue Guéré : piège à rat. Du brassage de ces éléments disparates semble résulter le peuple Manon actuel qui par la suite a encore été métissé d’éléments Kpellé et Kono. Mingoura averti qu’un nouveau malheur le menaçait, reprit la route du nord-est tandis que certains membres de sa famille continuèrent plus avant vers le sud. d’où descend la famille des chefs de canton du Vépo. On retrouve également ce clan à Nona, Velata, Ténia et Ouéta dans l’Ourapeulé. Guiéta qui n’existe plus aujourd’hui, se trouvait entre Soota et Bangoueta sur une colline située entre les rivières Bélé et Guéya. Par contre, G’Barko G’Bamou, que l’informateur de B. Holas donne pour un descendant de Zoumassakro, serait d’après nous un frère, peut-être au sens africain du terme, de Zoho Missa Coma et Zoho Missa Koro et porterait le nom voisin de Barako. Diao Diallo - 19 septembre 2020. Un deuxième conduit par Molou s’installe temporairement à Guiéta, fonde Poé, puis abandonne ce village pour Bélégnéouon. Dans cette lutte, ils faisaient parfois imprudemment appel aux étrangers Toma, Konianké ou Kpellé, qui ne tardaient pas à ne plus faire de différences entre alliés et ennemis et à piller les uns comme les autres. Confirm this request. A en croire les gens de Dyecké, ce sont les descendants de Mingoura qui auraient fondé tous les villages du G’Benson. Celui-ci reçut Zoho Missakoro comme hôte et lorsque Zotoï mourut, Missakoro préféra se faire enterrer vivant avec lui déclarant que le Kanala 118 liait dorénavant les deux clans. Faut-il faire un rapprochement entre le nom de ce cœur du pays Kpellé-Manon (Tonalé), le titre porté par les chefs (Tomou en Kpellé, Domi en Manon) et la Société des gens de justice (le Tohon) ? À cause de toutes ces potentialités économiques, c'est une région qui attire une population nombreuse. La date doit se placer entre 1900 et 1908 puisqu’elle coïncide avec l’arrivée des français dans le Nord du cercle de Nzérékoré. D’autre part, les Kpellé avancent jusqu’à proximité de la côte entre les Toma et les Manon bousculant ceux-ci vers l’Est, les rejetant dans le forêt du Manaleye. L’un, que nous appelerons Nia-Tea, vient du nord-ouest et occupe G’Ba et Koeta, l’autre, que nous nommerons Nia-Mini, vient de l’est et occupe Bouan et Vilapa. Tout se termina par un mariage entre l’étranger et la fille de son hôte et le jeune ménage alla se fixer sur l’emplacement de Mélégpouma. C’est à la faveur d’une conférence de presse, ce vendredi 7 juin 2019 à Conakry que l’union des femmes de la Guinée Forestière pour la paix et le développement (UFFEPAD), a dit à son tour “OUI” à une nouvelle constitution. 117b. Nous avons laissé le clan Boo à G’Pai et Konian dans le Toffaleye sud où il s’était fixé sous la direction de Miao puis de son fils Sanahouo. Car, l’histoire parlera de lui à Kissidougou grâce à ce grand monument qui sera réalisé », a déclaré Mamady Iva Sano. cit., p. 22. You may have already requested this item. Yagbara Mahou créa donc Karana au pied du mont Golo que les Kpellé nomment Hoiré, et qui est toujours la résidence de ses descendants, les chefs du Manansélé (canton appelé Manaleye en Kpellé). Il s’enfuit avec le sac et la femme qui accoucha d’un fils, Nyama Vegbei, lequel selon la coutume, fut considéré comme le fils de Togba. C’est moins ce que pense l’unique candidat recalé à la présidentielle du 18 octobre. Guinée équatoriale -- origines -- 1987. origines. L'on se souvient que cette route avait été dans un état de dégradation tel qu'elle avait pratiquement coupé la Guinée forestière du reste de la Guinée. cit., p. 19. Pinterest. quels étaient ces groupes qui quittaient le Konian pour la forêt.Il y a certainement eu des Malinké mais tous l’étaient-ils ? Sans que cela soit dit, il semblerait que cette expulsion soit due à des causes religieuses. Il fallut une guerre où Néma vainquit Bangha Nyanha à Soota pour que s’affirma la suprématie des Koliénwã sur les Téanwã. de quatre) d’un Centre de Recherche Agronomique (CRA) de proximité : à Foulaya (Guinée maritime), Bareng (Moyenne Guinée), Bordo (Haute Guinée),et Sérédou (Guinée Forestière) ainsi que de deux centres spécialisés : Koba pour la recherche sur la mangrove et … Malou doit être le second village. Le village de Guiépa ou Guiéta était en effet le berceau du clan Téa (que les Manon nomment Nia). Enfin on signale un clan Ma venant de Missadougou et ayant fondé G’Bipa. Quant au clan Saouro qui a donné son nom à une région Kono de l’Est, il peuple les villages de G’Bata, Guéta, Bouzouta, Dirita, Pinéta, G’Béké dans le Saouro, Zeassou et Bélégouma dans le Mossorodougou. auraient essaimé dans les différentes parties du Konian : Koradougou — Simandougou — Famoela — Mahana. Le Konian aura une grande importance comme point de départ de ces mouvements de population. On a vu que les Kono, eux aussi, ont refoulé les Manon suivant un axe Nord-Sud. L’histoire est cependant toujours une question de points de vue ! Leur chef se serait nommé Miao, il serait passé par Kogola, Ouinzou dans le Béro, Lomou, G’Béla, Kolopala et le sud du Toffaleye créant G’Paï. Souvent il nous a fallu interpréter ces récits, nous avons tenté de ne le faire qu’avec prudence : nous espérons ne pas nous être laissé entraîner trop loin par l’imagination. Puis il arrive à Boyeba où vivait Mahagpoulé chef du clan Duola. Nous n’avons pas encore parlé du clan Nia bien que celui-ci soit aussi d’origine Dan. Togba (ou l’un de ses descendants) eut deux fils, Monsia et Gomoulo ; le fils de ce dernier, Gara Gara, surnommé Oulé (le rouge) par les Konianké, fut le plus grand chef de la dynastie. Il se pourrait également que nous nous trouvions là devant le clan G’Banga représenté à Dulapa (Manansèlé) et qui, comme nous l’avons vu, est issu de l’union d’une femme Ma et d’un homme G’Bili. Un petit-fils de Sotigalagba, Félégpé Dolo, quitta Nzérékoré pour créer deux kilomètres à l’est le village de Dorota ; c’est de Nzérékoré et de Dorota que partira le clan Ga-Zogbela qui se répandra dans tout le pays actuellement manon ainsi qu’à Kelema et Zohoya, villages kpellé du Sonkolé : de Dorota une fraction gagne Loulé et Bounouma puis G’Bélé d’où elle passera à G’Bénéoui. Le confluent est un lieu sacré pour les Boonwã qui y font des sacrifices. Vous êtes les porte-flambeaux de la justice historique en Guinée. Les deux autres frères quittant Klya (Béro) passent par Didita et Kokota dans le Gouan et arrivent en pays Manon où Barako fonde Lola tandis que l’un de ses guerriers appartenant à la branche Gokolo du clan Lola quitte Lola pour créer Gokota. Son fils Dan Zomia lui succéda, mais il mourut foudroyé et fut remplacé par son fils Goïgho qui a la réputation d’avoir été grand féticheur de la forêt sacrée. Histoire de la Mongolie La Mongolie est entendue ici dans ses dimensions actuelles, c’est-à-dire comme l’espace compris entre la Russie au nord, la Chine au sud et à l’est et les monts Altaï à l’ouest. Mingoura lui-même avait créé Veha après Koronhoui et trois de ses fils Félin, Lomé Kéné, Nékoura créèrent respectivement Gola, G’Bala, G’Beipa. Trois chefs entretenaient des relations entre eux : ceux de G’Baya (Sonkolé), de Galaye (Ourapeulé) et de Koléa (Toffaleye). Parmi ces villages disparus, l’un a une importance toute particulière, Guiépa (en Manon) ou Guiéta (en Kpellé) au Nord-Est de Karana, le grand centre Manon. Bientôt, les nouveaux venus eurent une guerre avec les anciens occupants. B. Holas. A la mort de son oncle Tangalan Saouromou Gbâ, il prit le commandement de tous les autres villages fondés par son oncle. C’est là que naîtra un de ses descendants, Baka, qui abandonnant Harana ira fonder Malou. No preview available - 1992. Il épousa sa marâtre et de leur union naquit Zendei Takaran duquel descend Dombo chef du Boo en 1948. Ibidem, p. 23. Depuis 2 mois . L’initiative de sa fondation est attribuée au clan Goa. Il venait, lui aussi, de Missadougou; après avoir traversé le canton de G’Banhana et celui du Kossa-Guerzé.

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